L'esprit du Canal
Paragraphe 1
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Paragraphe 2
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" L'ombre du Brézé " raconte une malédiction qui commence en 1665 et s'achève en 1973.
Dans la réalité, tous les navires ayant porté le nom de Jean-Armand de Maillé-Brézé ont eu des destins tragiques. Le thème du fantastique s'est alors imposé avec, en toile de fond, "Le vaisseau fantôme" de Richard Wagner...
Trois navires ont porté le nom de Brézé :
- le vaisseau Brézé, un 46 canons qui a disparu en novembre 1665 après avoir rompu ses chaînes d'ancres au cours d'une tempête entre les îles d'Oléron et d'Aix ;
- le contre-torpilleur Maillé-Brézé qui a sombré à Greenock - sur la Clyde - l'avant port de Glasgow, suite à un accident de torpille en avril 1940 ;
- l'escorteur d'escadre Maillé-Brézé, devenu en 1998 un musée naval, toujours amarré au quai de la Fosse à Nantes, mais dont le premier commandant a glissé sur le pont du navire et est décédé des suites de ses blessures...
Lorsque j'ai découvert ce dernier Maillé-Brézé, j'ai retrouvé ma passion d'enfance pour la mer et la Marine et j'ai très vite eu envie de raconter une histoire qui permette de le faire vivre.
J'ai embarqué à bord des frégates De Grasse et Lamotte-Picquet aFin de comprendre le fonctionnement d'un bâtiment de lutte ASM (anti-sous-marine) et de connaître les conditions de vie des marins.
Ce roman a obtenu une "mention spéciale" de l'Académie de marine en 2010 et vient d'être réédité aux éditions "Valeurs d'Avenir".
Résumé:
En 1665, le jeune capitaine nantais Armand Milly, Fils d'un corsaire au service du Roy, est victime d'un complot qui l'éloigne de Senta, la jeune norvégienne dont il est amoureux. Condamné aux galères, il s'évade mais se damne en embarquant à bord du Brézé, un vaisseau qui, désormais, errera sur les mers à la recherche des âmes perdues des marins...
En 1940, Charles de Milly embarque comme second à bord du contre-torpilleur Maillé-Brézé qui participe à la campagne de Norvège dont la mission est de couper la route du fer approvisionnant l'Allemagne nazie en acier suédois... Il rencontre le Brézé et son ancêtre, Armand...
En 1973, Marc de Milly, commandant l'escorteur d'escadre Maillé-Brézé, engage un bras de fer avec la Marine soviétique en Mer de Barents. Sa rencontre avec Armand mettra-t-elle Fin à la malédiction ?
Critique d'une lectrice...
"L’Esprit du Canal" m’a remémoré mon enfance sur les bords du canal de Bourgogne, et cette vie sur l’eau, les échanges, les attentes, les désaccords entre péniches, les séjours plus ou moins longs au bassin d’Escommes en attendant le toueur pour le passage sous le tunnel.
Merci d’avoir contribué à cette remémoration de ces souvenirs de cette période si agréable de ma vie.
En complément à l’histoire, j’ai eu le plaisir du confort de votre écriture, les mots se suivent sans Fioritures inutiles, ils coulent aussi nettement et calmement que l’eau de ce canal. Style apprécié dès les premières lignes par ma Fille qui a son petit bateau.
J’ai aimé.
Quant au « JEANNE D’ARC - Poste 12», même si je trouve le personnage de la jeune femme lâchée seule sur ce bateau pirate un peu invraisemblable, quoique justiFié quand on a une certaine idée de ces peuples, l’épreuve m’a fait vibrer au souvenir de mes rêves héroïques d’adolescente. Je voulais devenir inFirmière sur les terrains de ces guerres qui ne Finissaient jamais. Je n’ai pas été sélectionnée. Votre livre que j’ai senti vécu par son auteur justiFie les craintes que j’ai pour mes Filles.
Vous savez rendre des évènements vécus ou écoutés avec une grande empathie, vivants et réels car exprimés simplement avec des mots français et un rythme propre à nos provinces qui provoque l’émotion.
Félicitations pour vos livres et heureuse année 2018 !
Françoise C.
Critique d'une lectrice...
"L’Esprit du Canal" m’a remémoré mon enfance sur les bords du canal de Bourgogne, et cette vie sur l’eau, les échanges, les attentes, les désaccords entre péniches, les séjours plus ou moins longs au bassin d’Escommes en attendant le toueur pour le passage sous le tunnel.
Merci d’avoir contribué à cette remémoration de ces souvenirs de cette période si agréable de ma vie.
En complément à l’histoire, j’ai eu le plaisir du confort de votre écriture, les mots se suivent sans Fioritures inutiles, ils coulent aussi nettement et calmement que l’eau de ce canal. Style apprécié dès les premières lignes par ma Fille qui a son petit bateau.
J’ai aimé.
Quant au « JEANNE D’ARC - Poste 12», même si je trouve le personnage de la jeune femme lâchée seule sur ce bateau pirate un peu invraisemblable, quoique justiFié quand on a une certaine idée de ces peuples, l’épreuve m’a fait vibrer au souvenir de mes rêves héroïques d’adolescente. Je voulais devenir inFirmière sur les terrains de ces guerres qui ne Finissaient jamais. Je n’ai pas été sélectionnée. Votre livre que j’ai senti vécu par son auteur justiFie les craintes que j’ai pour mes Filles.
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Félicitations pour vos livres et heureuse année 2018 !
Françoise C.
Critique d'une lectrice...
"L’Esprit du Canal" m’a remémoré mon enfance sur les bords du canal de Bourgogne, et cette vie sur l’eau, les échanges, les attentes, les désaccords entre péniches, les séjours plus ou moins longs au bassin d’Escommes en attendant le toueur pour le passage sous le tunnel.
Merci d’avoir contribué à cette remémoration de ces souvenirs de cette période si agréable de ma vie.
En complément à l’histoire, j’ai eu le plaisir du confort de votre écriture, les mots se suivent sans Fioritures inutiles, ils coulent aussi nettement et calmement que l’eau de ce canal. Style apprécié dès les premières lignes par ma Fille qui a son petit bateau.
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Félicitations pour vos livres et heureuse année 2018 !
Françoise C.
Panneau 2
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Le temps de vivre
Poser sur la berge ses soucis, ses contraintes, son passé... entrer dans le vrai monde où se parler redevient possible sans passer par les outils de la communication...
orsque j'ai posé mon sac à bord de l'Amadeus, j'ai retrouvé une part oubliée de la vie : prendre le temps d'être libre, et de rêver.